Je vous présente ici les deux romans à mon actif.
Inscrivez-vous à ma newsletter pour être les premiers informés de leurs parutions.
Suivez-moi sur Facebook@mine2rien
Je vous remercie encore pour votre compréhension, votre fidélité et votre patience.
Pour les propositions d’édition, contactez moi sur contact@mine2rien.fr
« Oh Toulouse ! Ville rose qui ne vous le dira pas avec des fleurs. »
EXIT ou Bienvenue en Nomads land, est un roman sur fond de fait divers témoignant des alternatives sociales et solidaires pour le droit au logement. Une histoire qui nous ouvre les portes d’une immersion totale dans le quotidien d’un « squat » autogéré revendiquant sa légitimité. Les portraits ciselés des personnages sont autant de fenêtres sur la réalité du monde et le personnage narrateur de Lucie, nous entraine dans l’aventure à un rythme qui participe à l’ambiance et à l’esprit des lieux. Un livre qui se lit d’un seul souffle et qui ne laisse pas indifférent. Un livre qui interroge sur le rôle des innovations et initiatives citoyennes face au défi social et environnemental de notre 21ème siècle, avec cependant, le constat rassurant de retrouver l’amour toujours au cœur de la Cour des Miracles.
Préface
Pour un premier roman, j’espère modestement avoir été à la hauteur du sujet. Il faut reconnaître que c’était sans doute un peu ambitieux de ma part. Mais je pense que le propre de notre jeunesse est précisément d’être audacieuse. Il n’a pas été simple de dépeindre une situation sociale très controversée, sans tomber dans les clichés récurrents. J’ai pris le temps qu’il m’a semblé nécessaire pour m’accorder un certain recul. Le combat pour le Droit Au Logement (DAL), les alternatives sociales et solidaires, les initiatives associatives d’intérêt public et la précarité de toute cette jeunesse étranglée par son siècle, ne pouvaient pas me laisser indifférente. J’ai essayé de traduire tous ces sentiments d’injustice et de révolte en évitant soigneusement de tomber dans le misérabilisme le plus attendu. J’ai vu beaucoup de vraie misère, mais j’ai préféré mettre en lumière ce qu’il en résulte de beau et de fort. Loin des grands médias, il y a de l’espoir qui germe et pousse un peu partout. Cette histoire est née dans le métro toulousain, entre Nougaro et Jean-Jaurès, en lisant un minuscule fait divers en manchette dans le gratuit du matin. De fait, j’ai fini cette histoire exactement comme elle a commencé pour moi, par une bien triste dépêche. Il n’en reste pas moins un exercice de style, un roman réel apportant son témoignage. J’ai donc choisi le temps présent de l’action et du mouvement. Le rythme est saccadé, parfois presque à bout de souffle. Il fait des vagues et porte. Le choix des personnages m’a fasciné. Il participe pour beaucoup à ma volonté de donner une vue des plus générale de la situation des squats à l’heure actuelle. « Squat »! Ce simple mot pose déjà à lui tout seul l’ampleur de la polémique et des préjugés. Les personnes concernées par ce genre de situation appellent cela une « réquisition légitime de logement vacant » et c’est bien de cela dont parle cette histoire. Les personnage s’expriment d’abord par l’action et se voient catalogués d’activiste de contre-pouvoir, alors qu’il s’agit simplement pour eux d’une pure résistance au fatalisme ambiant. Ils sont tous porteurs d’un même espoir de vie, d’avenir et d’humanité. Le personnage narrateur de Lucie, s’exprimant à la première personne, cristallise à lui seul toutes les confusions identitaires, socioculturelles et politiques de sa génération. Et je précise que je ne suis pas « Je ». « Je » exprime des idées et des émotions qui me sont familières, mais n’en reste pas moins un personnage de fiction. D’ailleurs, je me retrouve un peu dans chacun de mes personnages, tant masculins que féminins. L’auteure que je suis à donc pris en considération la marginale attitude, la dérive des continents et toutes la cosmopolite nation du Nomads Land, « Celle où on ne sait pas à quelle heure on part, ni à quelle heure on arrive, mais celle où on y va ! »
Commander ENTREVOIR sur Amazon en cliquant ici
« Si je te dis que je te mens, est-ce que je te dis la vérité? »
Préface
Les troubles de l’attachement et autres traumatismes psycho-affectifs et sociaux. Voilà un thème qui me tenait à cœur depuis longtemps. D’abord parce qu’on est un peu concernée, et ensuite parce qu’on est nombreux à chercher les causes de ce mal profond, nous précipitant d’échecs en déceptions, de déceptions en solitudes et de solitudes en isolement.
L’Amour. Comment s’aimer quand on a peur, quand on ne sait pas comment faire et qu’on ne nous a jamais éduqué en ce sens ? Dans une société en perdition ou l’individualisme dérive en égoïsme et égocentrisme, qu’elle place reste-t-il pour l’Autre ? L’Avoir a pris le pas sur l’Être. Les niveaux de réalités sont complexes et il est difficile pour chacun d’entre nous de trouver sa vérité dans ce flot continu de désinformation.
La Vérité n’est que le consentement donné à une réalité. Alors peut-on simplement reconnaître que l’amour n’est qu’une affaire de foi et de confiance, en soi et en l’autre.
Pour tous ces enfants qui grandissent sans amour, sans une éducation sentimentale, il est bien difficile de se construire et de s’épanouir dans leur vie d’adulte. Les conséquences de ses troubles vont malheureusement bien au-delà des simples relations amoureuses. On les retrouve à tous les niveaux relationnels. Familial, amical, professionnel… Ils sont la cause d’un mal être conduisant bien trop souvent à l’exclusion.
La Vérité de ce roman, c’est qu’on ne peut pas donner l’amour qu’on ne nous a jamais donné.
L’amour n’est pas inné. Il s’apprend dès le plus jeune âge. Mais les codes qu’on nous donne ne sont pas toujours les bons. Les traumatismes affectifs, que l’on traîne comme des chaînes, nous empêchent d’aller de l’avant et de nous laisser aller au bonheur de vivre, simplement, l’amour qui vient frapper à notre porte.
Entrevoir toute la mesure de notre impuissance face à ce sentiment essentiel à nos vies, est le début d’une grande histoire d’amour qui cherche ses marques, ses codes, sa vérité, dans un dédale de réalités qui se frôlent, s’ignorent, s’entrechoquent et où tout est à reconstruire et réinventer.
Deux êtres cherchent à s’aimer.
Chacun de mes romans est illustré par un texte de poésie slam résumant l’esprit de l’ouvrage dans sa globalité. Je les interprète régulièrement sur scène.
Poésie slam de EXIT
Poésie slam de ENTREVOIR